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[Quête] Chasse au trésor (Dagon et Ashild)
Maître du jeu
Créatrice
Maître du jeu
Compte fondateur
Age : Inconnu
Natif de : Inconnu
Mer 22 Avr - 16:24
Chasse au trésor
Ashild et Dagon

Rappel de la quête:

❖ Instructions
Le MDJ interviendra une fois que chacun a posté une réponse. Vous êtes libres d'interagir avec les PNJ pour le déroulement de la quête. Bon courage à vous !


***

La rumeur se répandait de plus en plus qu'un trésor ayant appartenu à Wiliam Lewis, célèbre pirate ayant provoqué la disgrâce de beaucoup de bateaux faisant voile vers de nouvelles richesses. Si une partie de son équipage aurait dans un accès de colère provoqué la chute de leur capitaine, on raconte partout qu'il aurait fini par pactiser avec un seigneur de Leicester pour avoir une grotte où entreposer sa richesse. La légende veut même que la déesse lui aurait dit qu'il ne pourrait jouir aucunement de ses richesses. Riant face à son destin, il aurait cherché un gardien digne de sa férocité pour que jamais son trésor ne soit découvert. Wiliam aurait levé le poing vers le ciel en disant qu'il défiait les dieux qu'aucun puisse profiter de ce qu'il lui revenait de droit. Son équipage vit cette appropriation d'un mauvais œil et se mutina. Certains cessèrent de faire leurs tâches, d'autres cherchèrent à piéger leur capitaine et le pendirent au mât. Dans un dernier souffle de douleur, il aurait crié " mon or, mon or" avant de perdre la vie. Son équipage essaya encore et encore de reprendre ce trésor, mais ils furent accueillis avec la rancœur du seigneur de la région de Leicester. Ce fut un massacre qui balaya les seuls témoins de ce trésor qui allait devenir une légende. Existait-il ou n'était-il que le récit des marins du port ?

S'il y avait un tant soit peu de vérité à quoi ressemblait-il ? Beaucoup auraient pu vous évoquer également ce goût pour les voyages qu'avaient le capitaine…. certains affirmaient que le gardien devait être un gros tigre. La légende s'inscrivait presque dans un conte pour enfants que les parents disaient racontait à leurs progénitures afin de les mettre en garde contre l'avarice. La légende perdit son éclat. A présent,  le pirate a laissé place au récit de deux amis dont la malchance avait poursuivi un homme avare. Seuls certains historiens ou les vieux marins du port savent qu'il n'en était rien. Le trésor existait ! Pire,  son gardien serait si féroce que la seule option serait la fuite. Le challenge motiva beaucoup d'aventuriers qui de façon indépendante se rejoignirent dans les gorges. Beaucoup furent étonnés de l'attroupement… mais aussi des tentes vides. Certains avaient dû y perdre la vie. A même la roche de la montagne, les tentes semblaient aussi fragiles que toutes ces vies qui avaient été balayées.

Vous arriverez de nuit, où la pâleur de la lune donnent aux toiles une allure presque spectrale. Un feu a été allumé au milieu du camp où certains s'adonnent à des plaisirs simples avant de mettre leurs vies en danger. De la musique, des rires, on aurait cru que c'était leur dernière fête… Peut-être que certains n'avaient pas encore eu le courage de se lancer dans l'ascension… Allez savoir. Une jeune femme souriante vint vous trouver.

"Vous venez vous aussi pour le trésor ? Venez, il y a assez de nourriture pour deux personnes en plus ! " Elle prend la main de l'un d'entre vous pour vous amener à une marmite où crépite un plat à base de mouton au vue de l'odeur. Vous pouvez décider de refuser cette invitation auquel cas cette jeune femme risque de vous fausser compagnie. Quatre hommes vous regardent en attendant de savoir si vous allez vous joindre à eux avec une assiette ou non. Plus loin,  un archer s'entraine sur une cible alors même que la seule lumière pour le guider est celle de torches plantées au sol. Vous voyez également une grande tente où parlent de façon plus douce des hommes voulant vraisemblablement ne pas être entendus. Leurs ombres se découpent derrière la toile.

Maître du jeu
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Åshild von Hrym
Åshild von Hrym
Futur vicomte de Hrym
Age : 27 ans
Natif de : Hrym — Adrestia
Ven 24 Avr - 15:57

Le bruit des sabots était assourdi par la brise glaciale annonciatrice de la tombée de la nuit. Derrière le récif montagneux, Äshild voyait se dessiner un soleil mourant, une lueur écarlate donnant à la nature environnante un air vaguement menaçant. Il y a quatre jours, il aurait sans doute pris le temps d’apprécier un changement de décor bienvenu, là où les hauteurs de plus en plus proches se profilaient comme une promesse. Mais le temps de la contemplation était loin derrière eux ; il avait pris fin dès les premières heures de voyage, quand il était devenu évident que toute la traversée serait accompagnée d’une impatience croissante et d’une tension palpable. L’avantage de circuler en bateau résidait sans doute dans la présence d’autres voyageurs, distractions bienvenues des silences oppressants qui finissaient invariablement en échanges d’insultes soigneusement voilées quand ils étaient brisés. Ici, séparés seulement par quelques mètres et accompagnés par le trot de leurs destriers, ils n’avaient d’autre choix que de laisser un morose mutisme s’étirer. Non sans une pointe de dérision, le jeune héritier se rendait compte que c’était là leur version de la civilité.

Plus par habitude que réel besoin, il ressortit une carte de sa besace, flétrie, jaunie par le temps, ses plis témoins d’une utilisation constante. Les sourcils froncés, il observa une fois de plus la longue chaîne de montagnes, incertain de l’endroit le plus propice pour commencer leur quête. Son regard glissa invariablement sur le comté d’Ordelia, leur destination initiale. Les instructions du vicomte avaient été claires : une visite de courtoisie pour excuser son comportement déplorable lors de la dernière rencontre avec la noble maison. Il serait charmant, il répéterait leur soutien indéfectible, il assisterait à tous les évènements auxquels on l’inviterait et il offrirait compliments les présents choisis par la vicomtesse.

Åshild avait dû se plier aux commandes de son père, en ignorant l’humiliation cuisante de se voir une fois de plus relégué au rang de simple diplomate chargé de prêcher la bonne parole. La maison Ordelia, plus que les autres, attisait sa rancœur et lui rappelait la mainmise absolue de Søren von Hrym sur les relations entretenues avec leurs voisins. Quand leur route avait croisé celle d’un voyageur quelque peu aviné, dans une taverne située à la périphérie du domaine, il était devenu évident que leur priorité résidait dans la recherche du trésor de William Lewis, pirate de renom qui embrassait visiblement sa fibre dramatique. Le comte et la comtesse pouvaient bien attendre quelques jours de plus pour recevoir ses plus plates excuses ; le trésor, en revanche, avait patienté bien des années, si l’on en croyait le conteur improvisé. Åshild avait donc troqué sa tenue plus cérémonielle contre des vêtements plus discrets, désireux de ne pas attirer l’attention.

L’agacement de Dagon, relativement dissimulé au début du voyage, avait monté d’un cran face à la décision du futur vicomte. Les dernières réponses reçues avaient été monosyllabiques et Åshild tempêtait intérieurement, avide de retrouver une compagnie qui ne semblait pas le juger pour ses décisions de vie pour le moins douteuses. Son souhait fut rapidement exaucé : un campement se profilait au pied des Gorges de Fodlan.

— — —


Leurs montures attachées, ils avaient à peine franchi l’entrée du camp qu’une jeune femme les accosta, avec une familiarité qui l’aurait sans doute agacé dans d’autres circonstances. Accoutumé à laisser son garde personnel tracer son chemin devant lui, Åshild nota non sans une pointe de satisfaction que Dagon se faisait entrainer par l’inconnue et intima son accord à celui-ci d’un signe de tête, captivé par la mention au trésor.

« Merci pour votre hospitalité. » répondit-il à la jeune femme « Je suis Phóbos Falanx et voici mon associé Reginald. Nous nous rendions à Ordelia en espérant étendre notre commerce familial d’herbes curatives. Un échec cuisant, je dois l’admettre ! Mais un trésor serait bienvenu pour compenser cette perte. Nous avons suivi les conseils d’autres voyageurs pour arriver ici. »

Derrière l’inconnue, il en profita pour observer le camp, cataloguer ses occupants, les tentes vides. L’une d’entre elles semblait utilisée, ses occupants se dessinant en grandes ombres à la lueur du feu. Son regard croisa celui de Dagon et il indiqua d’un geste son intention de les rejoindre à son garde. « Si vous voulez bien m’excusez. » murmura-t-il à ses compagnons du moment avant de s’éloigner.

Plus il s’approchait et plus les ombres se précisaient. Åshild voyait les têtes penchées, les occupants visiblement en grande conversation. Ils se redressèrent à son approche, sa venue sans doute annoncée par sa silhouette dessinée à la lueur des torches et le jeune homme ne perdit pas de temps avant d’ouvrir un pan de la tente. « Veuillez pardonner mon incursion, messieurs. » déclara-t-il, avant de se présenter laconiquement. L’image du commerçant déçu se dessina dans son esprit ; amical, peut-être un peu imprudent, et assoiffé d’aventures et de succès. Le destin posait sur sa route un trésor providentiel qu’il ne serait que trop désireux de tenter d’obtenir. Le rôle lui convenait, une seconde peau qu’il adoptait naturellement, comme à l’accoutumée quand il ne pouvait se permettre d’être Åshild von Hrym.

« Mon associé et moi-même avons été si chaleureusement accueillis dans le camp qu’il me semblait impoli de passer devant votre tente sans vous saluer. » reprit-il avec son sourire le plus affable. « Peut-être auriez-vous quelques conseils pour un apprenti chercheur de trésors ? »

Greed
& Gold

Åshild von Hrym
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Dagon Al-Usakār
Dagon Al-Usakār
Garde personnel d’Åshild von Hrym, futur vicomte de Hrym
Age : Vingt-huit ans
Natif de : Vicomté de Hrym, Adrestia
Ven 24 Avr - 17:34

Non omne quod nitet aurum est
Tout ce qui est or ne brille pas. Le propre des métaux les plus nobles est un rayonnement discret. Mais la vanité enrichit. — Que l’esprit humain serait pauvre sans la vanité! Avec elle il ressemble à un magasin bien rempli et toujours se remplissant : ils peuvent y trouver presque tout, supposé qu’ils aient sur eux le genre de monnaie qui a cours — l’admiration.

La lune jetait sur les gorges de Fódlan une lumière aux éclats de menaces. Au pied des montagnes, une fois la nuit tombée, chaque nouvelle sinuosité de la grande route semblait se confondre avec l’ombre d’un péril mortel. La chaleur moite des côtes d’Adrestia avait laissé place à un temps sec et froid des plus déplaisants.  Harassé et d’humeur maussade, Dagon luttait malgré tout pour maintenir ses sens aux abois. Les voyages à cheval lui faisaient horreur. Depuis plusieurs jours déjà, il ruminait silencieusement sa bile : ce qui devait être une simple visite d’agrément diplomatique s’était transformé en une odieuse succession de désagréments. Tout avait commencé dans cette maudite auberge. Là où ils n’auraient définitivement jamais dû s’arrêter. Dès le départ, Dagon s’en était pourtant douté : le profil louche de l’établissement n’augurait rien de bon. Il en fut tout-à-fait convaincu lorsque la patronne tenta de leur faire passer une affreuse fricassée de gobelin pour un excellent ragoût de lapin. Malgré son éducation austère, il devait bien avouer qu’il était homme de goût et de confort. L’odeur de lilas qui parfumait habituellement sa chevelure avait disparu et quelques mèches d’ordinaire récalcitrantes se retrouvaient désormais plaquées contre ses tempes par un mélange crasse de sueur froide et de poussière. Tout l’incommodait. En commençant bien entendu par son infortuné compagnon de voyage, qui l’avait entrainé, une fois n’est pas coutume, dans cet enfer.  Depuis longtemps, le garde avait cessé de compter les caprices de son « bien estimé » maître. Et depuis plus longtemps encore, il savait que c’était peine perdue que de vouloir les comprendre. Il y avait quelque chose de passablement dégénéré chez Åshild von Hrym, telle était la raison. Sinon comment expliquer que cet enfant du démon lui avait fait manger jusqu’à ses neuf ans des gâteaux à la boue, en prétendant qu’il s’agissait de chocolat ?  Non, il ne pouvait le concevoir autrement : il y avait un fond de perversité inné chez cet individu.

À mesure que le jour avait décliné, les traces de civilisation s’étaient faites de plus en plus éparses. Leur dernière rencontre datait d’il y a deux heures : un jeune ovin détaché du troupeau, portant autour du cou une petite cloche de berger. Et depuis, plus rien. Le silence qu’imposait délibérément Dagon à Åshild pesait plus que jamais sur toute la vallée. Mais alors qu’il s’était résigné à passer la nuit à la belle étoile, dans un inconfort certain, le garde entendit s’élever les clameurs festives des aventuriers, bien avant d’apercevoir leur bivouac de fortune. Aussi ne fut-il pas surpris de trouver cette petite faune bigarrée, nichée au cœur des montagnes.

À l’écoute de son maître, Dagon leva subrepticement les yeux au ciel. S’il fallait reconnaître une chose au futur vicomte de Hrym, c’était bien son talent pour le mensonge. En revanche, quand il s’agissait de choisir un pseudonyme, il lui restait des progrès à accomplir. Reginald, tsss. Dagon nota mentalement cette énième humiliation, tout en se laissant, bien malgré lui, entraîné jusqu’au feu de camp. Les familiarités de l’inconnue l’indisposaient quelque peu, mais il décida de se taire. Faire bonne figure : voilà ce qui importait pour l’instant. Calmement, il se joignit donc aux soupeurs et les remercia affablement pour l’invitation. Alors qu’il échangeait quelques banalités de circonstances, Dagon gardait un œil attentif sur Åshild. Il connaissait la propension de son maître à s’attirer des ennuis.
« Alors comme ça, vous voilà tous à la recherche de l’or de ce pirate…Wilhem Lowis ? se trompa-t-il délibérément. Si personne ne le corrigeait c’est que toute cette histoire était probablement une farce, un on-dit sans fondement, déformé et amplifié par quelques ivrognes de grands chemins.
— Je vois qu’il y a beaucoup de tentes, reprit-il, et peu de monde. Certains ont dû abandonner et repartir d’où ils venaient, je me trompe ? »
Plus vite il en saurait, pensa-t-il, plus vite il pourrait convaincre Åshild de l’ineptie que représentait cette chasse au trésor.
 
Dagon Al-Usakār
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Lun 27 Avr - 22:20
La jeune femme écouta en hochant la tête les propos des nouveaux arrivants. Elle avait toujours admirer ces commerçants qui développaient leur commerce, mais fut gênée de les trouver en de pareilles situations. " Venez, la soupe sera chaude. J'imagine que ce voyage n'a pas été des plus plaisants…" Elle resta non loin de Reginald en se disant que ce serait sans doute agréable d'avoir un nouveau venu parmi eux. Les hommes s'écartèrent pour leur faire une place auprès d'eux. Peut-être que le flux d'aventuriers tentant leur chance s'était rarifié au point qu'ils étaient heureux de voir de nouvelles têtes. Ils leur proposèrent leurs soupes en discutant des conditions difficiles dans lesquelles ils vivaient respectivement. En rajoutaient-ils tous une couche ou non ? En tout cas, il y en avait un qui se contentait de les fixer sans rien dire. Il partit dès lors que Phobos mentionna avec une légère erreur le nom du pirate. Il fit un signe avant de partir les mains dans les poches vers la tente où dansaient encore l'ombre d'une lampe à huile. Il ne fut pas le seul à prendre cette itinéraire… puisque que Phobos voulut également changer de compagnie. Les soupeurs restants plissèrent les yeux, mais ne cherchèrent pas à commenter. Un en revanche se moqua d'eux ouvertement :

" Ah ben si vous écorchez son nom, son fantôme va venir vous traquer dans chacune des cavités de cette caverne… Vous ferez pas long feu..;"
soupira t-il en recevant un coup de coude de la jeune femme. Visiblement, elle avait tenté de l'arrêter pour mieux poursuivre. " Oui, il est encore temps de partir, vous savez… dans certaines de ces tentes se trouvaient des amis… "

" Ce trésor est réel… il est si grand que ce pauvre fou voulait pas partager… maintenant … il mange les fleurs par le racine… oui. Nous repartons demain… sauf Radjen… qui va rejoindre l'autre groupe. Pas du genre causant, mais lui il a tenté deux fois… Il dit qu'il veut s'entourer de guerriers et pas d'explorateurs comme nous… Ouais mais … vous savez monsieur on voit rien dans ces tunnels… même les pierres sont noires. Ténèbres et désespoir… y a même des gens qui retentent tellement de fois qu'ils en deviennent fous… Avant de faire une bêtise, rentrez chez vous… "

Cet homme paraissait honnête avec un regard défaitiste. Tout le monde à sa déclaration avait baissé les yeux pour fixer leurs regards sur les braises du feu. Soit ils cherchaient à vous démoraliser, soit ils cherchaient à vous préserver.

Dans la tente, il ne régnait pas la même ambiance, au contraire les hommes paraissaient motivés par l'ascension. Ils avaient même sur leur table un plan gribouillé qu'ils avaient réalisé sans doute suite à plusieurs essais infructueux.

" Et c'est là… qu'il nous faudra franchir le… " Aussitôt la personne qui parlait le plus doucement possible se redressa à la vue d'un étranger suivi par toute une escorte. Ils étaient une dizaine avec des armes non loin d'eux comme s'ils venaient tout juste de sortir de cet enfer. L'homme semblait venir faire du touriste avec une chasse au trésor à la clé, l'homme qui semblait tenir les rênes de l'expédition replia sa carte en fronçant les yeux. " Des apprentis chasseurs de trésors comme tous ceux qu'on a jamais revu …?" Son ton n'était pas aimable du tout. Cependant ils semblaient effectivement bien plus documentés que ceux près du feu. L'homme taciturne qui était parmi les soupeurs vint murmurer quelque chose à l'homme qui vous avait si mal salué. Il se rasseya. "... Des commerçants, hein ? Vous savez vous battre au moins ? Parce que, y aurait moyen que vous vous joignez à nous les gars… si vous savez faire autre chose que vendre de l'herbe curative. "
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