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| Compte fondateur
Age : Inconnu
Natif de : Inconnu
|  Dim 26 Avr - 15:37 Event 1 : Le Festival du Cinquantenaire Sujet général - Le Discours  Une masse impressionnante de gens se rassemble devant une estrade de grande envergure installée sur la place du village. Le soleil rayonne dans les cieux en cette magnifique journée d’été. Par chance, la météo a été clémente en cette Lune pourtant capricieuse. Enfin, après un long moment à attendre, le roi Albert Blaiddyd a fait son apparition dans les tintements sourds des sabots et des armures foulant le sol. Il est escorté par sa garde et accompagné par des membres éminents à cette célébration dont l’Archevêque Byleth. De même, il y a une jeune femme ( @Bhâvanî Sheikh) envoyée par le roi Aslan d’Almyra pour le représenter ainsi que les intérêts de leur pays. Tous les regards sont portés vers eux lorsqu’ils s’approchent, à la fois ébahis par leur prestance et quelques peu intimidés pour certains. D’autres sont présents à contre-coeur, néanmoins curieux de connaître le déroulement des événements. Chaque personne est là, portées en ces lieux par une raison qui leur est propre. Sa Majesté monte sur son présentoir doté de son imposante régalia. Areadbhar. Puis vient se tenir devant ceux qui n’attendent plus que son discours soit prononcé. L’homme a pris une courte inspiration, et sourire aux lèvres, se lance dans sa royale allocution. « Chers peuples...Mes amis. Nous voici réunis en ce jour spécial pour célébrer la fin d’une guerre sanglante qui a ouvert une voie vers cette nouvelle ère dans laquelle nous vivons. Rien de tout cela n’aurait été possible sans cette confiance réciproque que nous partagions encore aujourd’hui, toujours dans ce noble but de tendre vers ce même objectif : garantir la paix (...). Nous ne devons en aucun cas oublier le passé. Car c’est dans ce passé que nous pouvons forger notre future et éviter de répéter ces erreurs qui nous seraient fatals. »Ses yeux azurs glissent vers l'Héroïne de Fódlan avec qui il échange brièvement un regard complice avant de poursuivre. Il laisse parler son invitée venue du royaume de l’est et Byleth qui s’avance à son tour pour prendre le relais. C'est avec assurance qu’elle se met à parler, ses mots ponctués de mélancolie lorsqu’elle fait référence à ses anciens élèves à travers son récit, mais fière. Fière de les avoir guidé et de les voir vu prendre leur envol. Sa parole est pleine d’espoir. Elle souhaite poursuivre cette mission qu’est la sienne, de guide à la fois spirituelle en tant que haute autorité de l’Eglise de Seiros mais également en tant qu’exemple à suivre. Le Blaiddyd poursuit, désireux de véhiculer un message avant de se retirer. « L’heure est aux festivités, je vous entends mes braves ! Mais n’oubliez jamais ceci : vous n'êtes jamais seuls. »Un sourire orne ses lèvres, tandis qu’il s’adresse une dernière fois à son auditoire. « Que la Déesse Sothis veille sur vous. »*** ❖ Indications✽ Le discours se déroule le premier jour du festival.✽ Ceci est un sujet général. Vous pouvez réagir au discours comme bon vous semble et interagir avec qui vous voulez. ✽ Vos écrits devront faire un minimum de 250 mots. Privilégiez les posts courts ! ✽ Tout le monde peut y participer ! Dans la limite du cohérent bien sûr. Si votre personnage est à l'autre bout du continent la vieille, difficile pour lui d'être présent le lendemain à Garreg Mach ! Autrement, que vous soyez étranger, élève, cela n'a pas d'importance. Notez cependant que les chevaliers de l’Ordre de Seiros et la Garde de l’Aube veillent à la sécurité de village et que les académiciens ont reçu une autorisation spéciale de sortie pour pouvoir participer aux activités s'ils le souhaitent. Mais les cours se poursuivent toujours. | Maître du jeu  | | | | |
| Baron
Age : 20 ans
Natif de : Leicester
| Dim 26 Avr - 20:37 Emil était du genre à participer à des festivités sans vraiment les apprécier. C’était une sorte d’obligation sociale pour lui plutôt que quelque chose dont il pouvait tirer un réel plaisir. Une occasion de faire des connaissances, de tisser des liens avec de futurs clients ou cibles, ou bien de repérer de futurs ennemis. Enfin… il fallait dire qu’il avait surtout du mal avec les fêtes depuis le jour de ses seize ans. Peu importe comment il retournait la situation, il avait encore du mal à se remettre du repas d’anniversaire ayant coûté la vie à son père et son oncle. Comment le baron pouvait-il se permettre d’apprécier des festivités alors qu’il était encore criblé de blessures ?
Mais bon, cette semaine était différente. Le Festival du Cinquantenaire… c’était une occasion unique. Vlad, le père d’Emil, avait commis des atrocités sans nom pendant la dernière année de sa vie ; cependant, il avait aimé la paix factice qu’inspirait l’unification de Fódlan. Il avait aussi été un père aimant qui voulait prendre le plus de plaisir possible lors de grandes occasions comme celle-ci. Le baron se disait que s’il participait aux festivités comme la majorité des élèves de l’Académie, peut-être qu’il aurait l’impression d’être au côté de son père comme lorsqu’il était enfant. Peut-être même que son père pourrait le voir de là-haut, si la Déesse pouvait pardonner à un homme dans son genre qui avait finalement succombé à l’avidité.
Emil avait naturellement assisté au discours du roi qui ouvrait les festivités. Assez proche pour bien voir et entendre le roi, mais en prenant du recul par respect. Le discours n’était pas vraiment spécial, mais il restait attentif. Jusqu’à un moment qui le fit réagir :
« Mais n’oubliez jamais ceci : vous n’êtes jamais seuls. »
L’expression auparavant calme du visage d’Emil s’était crispée de dégoût. Ah oui, il n’était pas seul. Personne dans la cour royale n’avait daigné départager Vlad et Rayner pour désigner un héritier qui dirigerait de facto la baronnie d’Atwood. Personne n’avait aidé Emil qui n’avait pas eu le temps de pleurer la mort de son père et qui était hissé au rang de baron du jour au lendemain, forcé de se tourner au crime pour essayer de combler petit à petit la ruine qu’avaient causé ses aînés. Il n’y avait personne avec qui il se sentait vraiment en sécurité, et il était incapable de s’attacher à quiconque de peur de les voir arrachés à lui aussi subitement que son père.
… Mais oui, personne n’est jamais seul.
L’expression de dégoût d’Emil avait laissé place à des larmes de rage. Il avait honte de laisser ses émotions s’emparer de lui ainsi, mais l’avantage était qu’au moins, avec les festivités, il y avait peu de chance que quelqu’un le remarque dans cet état. | | | | | |
| Age : 18 Ans
Natif de : Non renseigné
Administratrice
| Dim 26 Avr - 21:26  Feat TOUT CEUX QUI VEULENT Nous ne sommes jamais seuls ? Vraiment ?
Aujourd'hui, était un jour, spécial. J'en conviens, il l'était pour tout le monde. Les festivités allaient être annoncées par le roi, et la ville de Garreg Mach allait être, durant toute une semaine sous les feu des projecteurs. La joie, l'amusement, l'engouement se liront sur tous les visages. Cette fête, beaucoup de monde l'attendait impatiemment. Il en était de même pour Meryl, mais pas forcément pour les raisons qui ont été citées... En toute honnêteté, elles y contribuaient tout de même grandement. Mais il y avait une autre raison à cela... Mikles, son père adoptif, lui avait autorisé à y participer ! Et sachez le, cela relève d'un véritable exploit. Meryl a toujours été contrainte de vivre cloîtrée chez elle, sans pouvoir rencontrer qui que ce soit. Bien évidemment, cette sortie n'était pas non plus anodine, mais passons ce léger détail. La jeune femme ne tenait plus sur place... Comment allait-elle s'habiller ? Qui allait-elle rencontrer ? Toutes ses émotions d'un coup son si exaltantes !
Ca y est, la voici enfin arrivée au village de Garreg Mach. Juste à temps, car le roi entame son discours. Un monologue dont elle ne prêta pas réellement une oreille attentive, préférant s'émerveiller de tout ce monde autour d'elle. Bien qu'elle ne remarqua pas, les légers regards sur sa personne, se demandant qui était cette roturière. Il est vrai qu'elle n'avait jamais mis les pieds ici... Ni dans beaucoup d'autres lieus.... Une fois le discours du roi terminé, la foule commença à se disperser. Certains restèrent sur place pour discuter des animations à venir, d'autre se précipitèrent déjà sur ce qu'ils pouvaient trouver. Les groupes se forment, il faut avouer, que c'est surement plus conviviale de s'amuser avec sa famille où ses amis. Chose, que ne pouvait connaître Meryl. Mikles, son père adoptif, était sa seule famille... Et ses amis... Mikles lui a toujours interdit de côtoyer qui que ce soit. Alors là aussi, il en allait être complexe... Vous vous doutez bien que pour le coup, le fait qu'il ait accepté qu'elle puisse assister à cet évènement, était pour elle une explosion de joie. Voir d'autres personnes, participer à des activités... Cela allait grandement la changer. Tant pis si elle se retrouve seule pour la journée.
Émerveillée par la foule, Meryl ne prêta pas attention lorsqu'elle se retourna assez brutalement sur une autre personne. Confuse, elle aborda un sourire gêné. Bien évidemment, elle voulait s'en excuser, mais remarqua quelques larmes perler sur les joues de l'homme. « Je suis désolée, je t'ai fait mal ?! » La rouquine ne pensait réellement pas l'avoir heurté aussi fort que cela. Peut-être avait-elle appuyé sur un point sensible, cela lui ressemblerait bien. Meryl et ses maladresses, ne sont hélas pas un mythe. Toujours est-il qu'elle s'en voulait, encore une fois elle se voyait les pieds dans le plat. Déjà qu'elle n'était pas à l'aise en société, que les regards qu'on lui accorde sont plutôt sinueux... Mais si en plus elle se fait remarquer par ses étourderies ... Heureusement qu'elle c'était dit, qu'elle se ferait aussi discrète qu'une souris.
- Spoiler:
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| Cheffe de la rebellion
Age : 24 ans
Natif de : Adrestia
Modératrice
| Dim 26 Avr - 22:12 Je vous jure... être une fugitive et venir à ce genre de festivité. Mais bon elle avait réussi à se faufiler et à se trouver un endroit pas trop visible. Elle se mangeait tranquillement une pomme sous une capuche délavée. L'avantage des vêtements de peu de valeur c'était qu'ils se confondent au point de presque devenir invisible. Il n'y a qu'à voir ceux qui mendient pour comprendre. Alors que tout le monde était en liesse, elle ne pouvait s'empêcher de fumer une rage étrange. Dans le fond, sa réaction était l'exact reflet de toutes ses motivations présentes : montrer le peu de fiabilité de ce système et le briser pierre après pierre. Pour l'heure autant qu'elle se venge sur cette pomme en prêtant une attention sur ce que ce vieux roi avait à dire à son bon peuple. Ne jamais oublier le passé.. Pour une fois, elle était d'accord, mais sur un tout autre registre. Elle voulait le rebâtir plus lumineux et plus fort que jamais... Quand il ajouta qu'ils n'étaient pas seuls, elle eut comme un léger froncement d'yeux alors que d'autres regardaient presque transportés par ce discours... Elle n'avait plus qu'à disparaître. De toute manière, il n'y avait rien à faire. Elle lança son trognon dans la foule avant de chercher à rejoindre la queue de file en bousculant quelques badauds sur le passage qui se trouvaient là. Elle n'avait plus envie de rester pour les applaudissements d'une paix qu'elle ne tolérait pas... Elle évita deux personnes en pleine discussion et se décida pour une bière avant de totalement disparaître... Ce serait sans doute salutaire pour faire passer la pillule. | | | | | |
| Baron
Age : 20 ans
Natif de : Leicester
| Dim 26 Avr - 23:09 @Meryl OttertonEmil tentait de calmer ses sanglots enragés lorsqu’il fut soudainement surpris par quelqu’un le bousculant. Décidément, la Déesse voulait s’amuser avec lui en l’embarrassant auprès d’inconnus aujourd’hui. Il se tourna immédiatement pour examiner celui ou celle qui l’avait heurté sans avoir pris la peine de sécher ses larmes. C’était une jeune femme rousse, sûrement une roturière s’il en jugeait ses vêtements. Au moins, il y avait une chance qu’elle ne le reconnaîtrait pas, comparée à un camarade de l’Académie.
C’est la manière dont la jeune femme s’adressât à lui qui confirma ses soupçons, cependant. Elle l’avait tutoyé en s’excusant immédiatement, ce qui fit sourire Emil. Une roturière qui savait qu’elle s’adressait à un noble ne l’aurait pas tutoyé comme elle l’avait fait.
Il n’empêche que la roturière semblait être inquiète lorsqu’elle lui présenta ses excuses et, maintenant, le baron se devait de la rassurer. Une simple banalité, si ce n’est qu’il devait quand même se montrer convaincant pour que l’inconnue ne s’inquiète pas d’avantage à son sujet. Il sécha ses larmes à présent qu’il était plus calme, et lui répondit d’une voix douce avec un sourire aux lèvres.
« Ne vous inquiétez pas, Mademoiselle, vous ne m’avez pas fait mal. Mes larmes sont juste le fruit de mon émotion face aux festivités. Je n’ai évidemment pas été témoin des événements qui ont mené notre pays vers la paix, mais c’est merveilleux de se dire que cela fait déjà cinquante ans que cela dure, n’êtes-vous pas d’accord ? »
Il avait demandé son avis à la jeune femme par pur réflexe, mais ne s’attendait pas vraiment à une réponse qui mènerait à grand-chose. Après tout, il était sûrement en train de ralentir la roturière dans ses festivités, et il ne lui en voudrait pas si elle décidait de lui répondre en vitesse avant de partir. | | | | | |
| Elève à l'Académie des Officiers
Age : 15 ans
Natif de : Comté des Galatea
| Lun 27 Avr - 11:09 @Erika Von ArundelAujourd’hui, je m’étais levée d’une bonne humeur incomparable. C’était la semaine du festival du cinquantenaire. Cinquante années de paix… Si ce n’était pas à fêter, alors je me demandais ce qui l’était ! Bon, certes, les cours n’avaient pas été supprimés, mais l’emploi du temps nous laissait quand même de l’espace libre pour avoir le temps de participer un peu au festival, tout de même ! L’heure était vraiment à la joie de mon côté. J’étais une fillette plutôt simple, vous savez. De plus, j’avais hâte d’entendre le discours du roi. Je respectais énormément les moments solenelles et en était plutôt friande… Surtout s’il y avait possibilité de faire la fête ensuite ! Et je savais pour sûr qu’il y aurait à manger pendant le festival. A manger partout… Ce serait sûrement meilleur que le risotto de l’académie, qui était déjà très bon !
Du reste, cela me faisait plaisir de pouvoir prendre l’air et me balader dans le village de Garreg Mach. L’académie pouvait devenir oppressante de temps en temps, vous savez ? Ca pouvait devenir lassant et on pouvait vite avoir envie de changer d’air. Pour ma part, j’étais plutôt docile lorsqu’il s’agissait de rester au monastère, mais j’étais quand même humaine et avais besoin de voir autre chose de temps en temps !
Alors je me rendis au discours du roi toute guillerette. Des étoiles dans les yeux, je l’entendis prononcer des mots incroyablement beaux que je respectais au plus haut point. Je l’écoutais avec tellement d’attention que le peu de brouhaha qui pouvait se trouver autour de moi m’agaçait ! Je me contenais pour ne pas lâcher un « chhuuut ! » qui aurait été tout aussi agaçant. C’est alors que la dernière phrase du roi Blaiddyd me frappa en plein cœur : « L’heure est aux festivités, je vous entends mes braves ! Mais n’oubliez jamais ceci : vous n'êtes jamais seuls. » J’en eus presque les larmes aux yeux ! Qu’est-ce qu’il était bon, ce roi… nous avions de la chance de l’avoir, à mon avis. Et puis en plus, il avait raison, L’HEURE ETAIT AUX FESTIVITES. Ca y est, le côté amusant allait commencer !
Enfin, c’était sans compter sur un trognon de pomme qui me tapa le front et qui m’arracha un « Ouch ! ». En fronçant les sourcils, je ramassai rapidement le trognon mais à mon grand dam, n’eus pas le temps de repérer l’individu qui avait pu être si insensible, même si j’avais crié un « Hey, qui a fait ça ? » en brandissant le trognon. Qu’est-ce qu’il leur prenait aux gens, de commettre ce genre de crime indécent ? Enfin bref… Cet événement mineur m’avait un peu dégoutée, alors je sortais de la foule avec une mine un peu dépitée. Il fallait que je me ressaisisse et vite, ce n’était qu’un trognon ! | | | | | |
| Cheffe de la rebellion
Age : 24 ans
Natif de : Adrestia
Modératrice
| Mer 29 Avr - 14:13 Vous savez les scrupules ? Cette sorte d'amertume qui peuvent vous ruiner une journée ? Erika n'en était nullement pourvue fortement pour elle. Ce trognon avait dû rebondir sur la tête d'une personne peu attentive et qui se sera réveillée suite au choc, voilà tout. Sauf que la situation qui suivit manqua de lui faire avaler de travers. Une personne avait bien reçu son présent si gentiment offert et de la plus belle des façon. Elle le présentait comme un trophée. C'était vraiment tordant en vrai... Erika avait à peine eu le temps de s'orienter vers son objectif que cette jeune femme était en plein désarroi, mais attendez une minute.... C'était la soeur de cette chère Judith, elle se devait de faire demi-tour. Elle se dirigea avec conviction vers la jeune femme. Son regard se figeait vers une personne pas trop grande de façon à garder un avantage. " ... Ah mais je vous ai reconnu(e) ! Vous avez également importuné madame, que vous faut-il ?! "Erika ne pouvait s'empêcher de se marrer intérieurement sans que cela soit perceptible. Elle se tenait devant une personne inconnue comme un seul bloc les yeux froncés en ayant dans ses mains un autre trognon qu'elle avait entre temps ramasser au sol. C'était à croire que d'autres étaient aussi détendus qu'elle sur la tenue de cet endroit. Elle avait bien à l'esprit qu'elle allait pouvoir se rapprocher de la jeune Galatea, la pauvre elle ne pouvait pas profiter sereinement du festival. Les mains campées sur ses hanches, elle usait de son charisme pour insuffler de la méfiance à son interlocuteur jusqu'à feindre son attention sur ce que tendait la jeune femme.
"... Il/Elle a emmené tout son verger ou quoi !" | | | | | |
| Age : 18 Ans
Natif de : Non renseigné
Administratrice
| Mer 29 Avr - 14:46 @Emil V. AtwoodFeat TOUT CEUX QUI VEULENT Nous ne sommes jamais seuls ? Vraiment ? Évite de trop te faire remarquer, il serait mal venu qu'une roturière mette le bazars au festival. Et surtout n'importune pas les gens, ta présence n'est déjà que peu souhaitable alors abstient toi de te trouver dans leurs jambes. On peut dire une chose, cela était complétement raté. La maladresse de notre jeune femme lui avait encore joué un sacret tours. De toute manière, il aurait été difficile pour elle de faire autrement. Elle n'avait nullement l'habitude de se retrouver avec autant de présence autours d'elle... se laissant trop facilement ébahir par tous ces gens et les distractions offertes pour la semaine.
En tout les cas, elle fut apaisée de savoir qu'elle n'était pas la cause du mal être du jeune homme. Bien que cela n’empêcha pas le fait, qu'il soit maussade de le voir pleurer ainsi. Pourtant, il se voulut rassurant, se disant être simplement touchés par les festivités. Pourquoi pas, Meryl n'avait nul raison d'en douter après tout. Un sourire rassuré se dessina sur ses lèvres, et retrouver son visage enjoué et retrouva son excitation de toute à l'heure « Oui, c'est magnifique n'est ce pas ? J'ai tellement hâte de voir ce que cette semaine nous réserve. » Elle n'osa pour autant signifier qu'elle n'était pas forcément très appliquée sur l'histoire de Fodlan. Bien que Mikles lui en avait appris les grandes lignes, elle du trouver dans le peu de livres qu'elle avait, les quelques informations concernant le royaume. Bien évidement, elle était au courant de cette guerre d'il y a cinquante ans. Après, Mikles lui avait toujours signifier que ce temps de paix n'était pas ce qu'il semblait être.
Une chose lui frappa soudain à l'esprit, le jeune homme c'était montré des plus courtois en la vouvoyant, et elle n'avait pas été capable de se montrer décent. Évidement, elle allait surement se retrouver confronter ici, à de nombreuses personnes de haut rang. Raison de plus pour rester discrète. « Je dois vous paraitre vraiment impolie, pardonnez moi. Je n'ai pas l'habitude tout ça... » Elle se coupa rapidement en attendant une jeune femme s'esclaffer. Vraiment ? Elle se prenait la tête pour un trognon de pomme ? Les gens ici, sont assez étranges non ? Que diras ton de l'autre furie aux cheveux blancs, qui se méla dans la foule pour en trouver le coupable. Elle se pencha alors légèrement vers Emil, tout en regardant la scène. « Les gens sont vraiment prêt à se disputer pour ce genre de choses ? » Si c'était ça, elle ne donnait pas cher de sa peau ici, à cause de sa maladresse. Traduisant certainement, son manque d'expérience auprès des autres.
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| Elève à l'Académie des Officiers
Age : 15 ans
Natif de : Comté des Galatea
| Mer 29 Avr - 19:36 Je suis dépitée. Je me demande bien qui a pu jeter ce trognon sur ma tête et pourquoi. Etais-je seulement une cible ou juste victime d’un malheureux hasard ? Impossible de le savoir mais ce qui était sûr c’est que l’incertitude m’irritait. Oui, d’habitude, je n’en aurais pas fait tout un plat, mais là c’était important. Le discours du roi venait d’avoir lieu après tout, le temps n’était pas à l’agression par trognon !
Alors oui, je grognais un peu en essayant de m’éloigner de la foule, avec toujours le trognon dans la main. Il fallait que je me ressaisisse oui, certes, mais pour l’instant, j’étais agacée ! Si seulement Judith avait été à côté pour qu’on puisse en rire ensemble… Bon, tant pis, je lui raconterais en la retrouvant un peu plus tard. Pour l’heure, je devais faire une croix sur ma frustration. A moins que… A moins que le coupable revienne de lui-même.
Une jeune femme aux longs cheveux argentés apparut et sembla s’exclamer en ma direction qu’elle me reconnaissait et que j'avais importuné quelqu’un. Attendez, quoi ? Mais de quoi parlait-elle ? La situation était complètement délirante et j’étais en train de me faire avoir comme une bleue.
« Quoi ? De quoi parlez-vous ? Je n’ai importuné personne ! »
Même dans ce genre de situations j’avais un minimum de politesse. Mais pour le coup je ne comprenais vraiment pas ce qui se passait. Je n’avais importuné personne. Même… Même que j’étais presque persuadée que cette personne n’était pas étrangère à l’affaire !
« Mais c’est vous en fait, non ? C’est vous la coupable ! »
Cette histoire tournait au roman policier. | | | | | |
| Prince héritier de Fódlan
Age : 21 ans
Natif de : Faerghus, né à Fhirdiad
Fondateur
| Jeu 30 Avr - 23:47 Gabriel marchait parmi les membres de l'escorte royale, impressionné par l'immense foule présente pour la commémoration. Il avait ce sourire ravi qui dansait sur son visage, reflet aussi de cette impatience qu'il contenait depuis trop longtemps. Malheureusement...Etre prince le contraignait à certaines obligations. Difficile à croire qu'il puisse s'amuser aussi librement que les autres, mais cette occasion était une aubaine pour le Blaiddyd de pouvoir souffler un peu et s'aérer l'esprit.
Il se tenait derrière l'estrade, écoutant attentivement le discours qui fût prononcé. Gabriel eu un petit pincement au cœur lorsque Dame Byleth évoqua ses anciens camarades. Il imaginait l'horreur de la guerre dans laquelle ils furent jetés. Le sang versé, les larmes coulées. Son père avait raison. Le passé ne devait pas être oublié mais servir d'exemple pour ne plus reproduire la même erreur. La fin de son allocution pouvait laisser un peu perplexe. Ses paroles semblaient particulièrement idéalistes, voire à la limite de l'utopie au premier abord. Peu importe les moyens utilisés, il y aura toujours des malheureux tant qu'il y aura des égoïstes qui refusent de partager. Des crimes ou encore la maladie qui brisent des familles et font des orphelins. La royauté n'était pas en mesure d'être omnisciente mais avait le devoir de s'engager à réduire les inégalités. Là était sans doute le véritable sens de ses mots, plutôt que de faire croire à l'impossible. En tout cas, c'était de cette manière qu'il traduisait les paroles de son père. Après tout, le roi avait dédié sa vie à poursuivre la mission de Dimitri, à donner au peuple la paix et le confort qu'il mérite. Mission que Gabriel comptait poursuivre à son tour.
L'escorte royale se retira, s'apprêtant à marcher en direction de la cathédrale de Garreg Mach perchée dans les montagnes. Le jeune lord jeta un œil rapide vers @Judith R. Galatea et monta sur son fidèle destrier, porté par la déception de ne pas être en mesure de profiter convenablement des festivités en bonne compagnie. Comme s'il avait sentit sa frustration, son père arriva à sa hauteur et se pencha pour s'adresser à son puîné avec toute bienveillance :
« Accomplissons ce qui doit être accompli mon fils, et tu pourras toi aussi y prétendre. »
Confirma le roi avant de passer par un petit trop à la tête de la troupe. Ses lèvres s'étirèrent jusqu'aux oreilles, contenant pour ne pas laisser exploser sa joie plus qu'il n'en faille. | | | | | |
| Baron
Age : 20 ans
Natif de : Leicester
| Jeu 7 Mai - 20:01 @Meryl OttertonEmil fut soulagé que la jeune femme avait cru ses paroles, à la vue du sourire qu’il pouvait voir sur son visage. Son propre sourire devint un peu plus sincère lorsqu’il entendit la réponse de la roturière. Certes, il ne pourrait toujours pas avaler les paroles du roi de sitôt, mais l’enthousiasme de son interlocutrice lui avait rappelé qu’il pouvait, pour une fois, se contenter d’oublier un peu ses problèmes grâce aux animations qui étaient organisées. D’ailleurs, en parlant d’animations…
« Si je me rappelle bien ce que j’ai entendu à l’Académie, il y a un bon nombre d’événements organisés cette semaine : un bal, un concours de bière, tournois et autres… un programme qui pourrait faire plaisir à n’importe qui, je pense. D’ailleurs, le bal a lieu ce soir, il me semble, si vous voulez profiter des festivités dès maintenant. »
Il s’était un peu laissé emporter par ses explications, si bien que, lorsqu’il avait terminé, il était un peu gêné, et il espérait qu’un autre sourire vers la roturière aiderait un peu à masquer sa gêne. C’est à ce moment-là que la jeune femme s’excusa de ne pas l’avoir vouvoyé plus tôt, ce qui l’avait surpris, car avec ses explications, il avait oublié qu’elle l’avait simplement tutoyé. Il laissa s’échapper un petit rire amical avant de lui répondre.
« Oh, ne vous inquiétez pas, Mademoiselle, je ne le prends pas en mal. Avec toutes ces festivités, c’est normal d’oublier un peu les conventions, n’est-ce pas ? Après tout, je pense que tout le monde en ce moment veut profiter du festival tout en faisant attention à ne pas s’attirer des embrouilles. »
Et juste au moment où il avait fini de dire ça, il entendit une autre jeune femme hurler pour savoir qui lui avait lancé un trognon de pomme dessus. En la regardant de plus près, elle semblait être une élève de l’Académie comme lui. Il eut un sourire en coin lorsqu’il vit une autre femme se mêler et une embrouille commencer.
« Les gens sont vraiment prêts à se disputer pour ce genre de choses ? »
Le baron eut un pincement au cœur en entendant la remarque de la roturière, ne s’empêchant de penser à son père et son oncle. Pourtant, il parvint à submerger la douleur avec un commentaire qu’il fit avec un sourire narquois sur les lèvres.
« Vous seriez surprise de savoir le nombre de personnes que j’ai rencontré étant prêtes à se battre pour de telles banalités plutôt que pour leur survie, Mademoiselle. » Pause. Voir la scène le dégoûtait de plus en plus, et il ne voulait pas rester une seconde de plus près des deux harpies. Il se retourna vers son interlocutrice, affichant de nouveau un doux sourire. « Dites, que diriez-vous de profiter du festival ensemble loin de cette ridicule embrouille ? Ce serait dommage de passer notre temps à s’inquiéter pour ce genre de choses. » Soudain, il fut pris d’une réalisation. « Ah ! J’allais presque oublier de me présenter. Je m’appelle Emil, enchanté ! »
Il hocha la tête en guise de signe de respect et tendit la main vers son interlocutrice, l’invitant à partir plus loin avec lui pour enfin commencer les vraies festivités. Étrangement, il avait l’impression qu’il pourrait bien s’entendre avec la jeune femme, alors autant en profiter pour oublier un peu ses tracas. | | | | | |
| Cheffe de la rebellion
Age : 24 ans
Natif de : Adrestia
Modératrice
| Ven 8 Mai - 10:38 Erika se mit à sourire intérieurement, la victime qu'elle avait désignée ne se retournait pas donc et donc fatalement elle se retrouvait face à la vraie victime qui était bien déterminée à ne pas se laisser faire de la sorte. Erika avait loupé une belle occasion d'attirer la Galatea à elle, dommage. Le faux coupable s'en alla sous le regard figé de la jeune cheffe, au moins c'était une bonne chose s'il avait été resté immobile sa répartie en aurait été bien affectée. " De quoi parlez-vous ? Cet homme m'a jeté une ordure au visage, je croyais qu'il en était de même pour vous. Mes soupçons se tournaient vers lui. Je ne supporte pas qu'on trouble un moment si important pour la vie de notre royaume, je me suis laissée emporter. Veuillez me pardonner, voius comptez venir à d'autres événements ? J'espère que nous aurons un meilleur accueuil..." soupira t-elle en fixant de nouveau la personne qui s'éloignait après avoir regardé Elise Galatea pour ce faux aveu. Si elle ne lui répondait pas comme il fallait, il lui faudrait lui fausser compagnie vite fait bien fait et tenter sa chance autrement. Si elle ne pouvait pas s'en faire une allié même de circonstance, elle pourra être un bon otage si la situation se précisait. Elle la regardait la tête baissée, elle était si confuse de s'être emportée oh... elle petite roturière qui ne prétendait rien dans ce discours qu'elle avait gâché inutilement. Erika voulait rentrer dans son personnage au moins de s'en nourrir et s'y fondre. A voir si elle allait le passer un peu avec la jeune Galatea ou non... Sinon elle était bien décidée à profiter des festivités pour recruter dans la bonne ambiance. Elle avait déjà vu de solides guerriers se joindre à l'assemblée. | | | | | |
| Noble
Age : 19
Natif de : Faërghus
Modérateur
| Ven 8 Mai - 10:53 Basile suivait Gabriel comme son ombre, il avait écouté avec une attention discrète le discours en veillant sur la sécurité de Gabriel et si la situation le précisait de la famille royale. Vaguement, il entendit les mots paix, que nous n'étions pas seuls. Il supposait donc que le message était de se soutenir autant dans cette période de paix que dans une période de guerre comme un seul et même peuple. La foule était nombreuse, mais depuis le temps le jeune Fraldarius en avait l'habitude. A nouveau, il remarqua un regard singulier de Gabriel vers Judith, vraiment ces deux là lui cachaient quelque chose. Il n'osait repenser aux fois où il avait dû écumer tout le château comme " le prince est demandé" lui avait t-on dit pour au final ne trouver du prince qu'un lit fait, une chambre vide en somme. Dans ces cas d'urgence, il rentrait dans ses appartements pour attester avoir fait cherché partout, il se faisait les jambes à jouer à cache-cache puis retrouver Gabriel avec une mauvaise humeur contenue le lendemain. Il ne s'était jamais plaint car il se retrouvait piégé entre son rôle d'ami et de garde... On l'obligeait à chercher partout d'un côté et de l'autre il pensait qu'il fallait qu'on lui lâche un peu la bride. Il soupira tout en suivant le cortège sans pouvoir en sortir... Dans la foule, il crut voir une chevelure rousse familière, mais ne put se détacher de son escorte par mesure de sécurité. Au moins, il savait qu'elle n'était pas tombée encore dans un trou, c'était déjà une bonne chose... En plus, elle était venue avec un ami. Partager cette fête était un réel moment de plaisir. Il allait rejoindre une auberge qu'il partageait notamment avec Gabriel... Il ignorait si d'autres membres du quatuor étaient présents, mais il se voyait déjà les inviter à boire une bonne pinte demain... De toute façon, il ferait le concours de bières et sauf si Wilfried y participait, il aurait ses chances. Il claqua les rênes de son cheval pour se placer aux côtés de son ami.
Tout se passe dans les règles, mon prince" sourit-il par pur esprit de provocation. | | | | | |
| Elève à l'Académie des Officiers
Age : 15 ans
Natif de : Comté des Galatea
| Mar 12 Mai - 16:14 ( @Erika Von Arundel) En fait, la vérité, c’est que je ne savais pas vraiment ce qui était en train de se passer. La foule nous entourait, cela me gênait un peu vu le contexte, et je ne savais pas qui était la jeune femme qui me causait du souci. En plus, elle était plus âgée que moi, alors c’était compliqué pour moi de faire la maline ou de l’accuser sans paraitre insolente. C’était même impoli de ma part, ce qui me fit un peu reculer avant que je réalise qu’en fait, si elle était coupable de l’entourloupe, peu importe son âge, elle n’avait pas à faire ça ! Alors je la fixais sans scrupule. J’essayais de détailler ses expressions, de détecter une faille quelque part, une expression de remords peut-être ? Mais rien, à part… de la fierté malsaine ? Elle était vraiment louche, et commençait même à me faire un peu peur. Bon, il ne s’agissait pas de flancher. De toute façon, j’étais en sécurité. Si elle avait prévu une attaque, je ne pensais pas qu’elle se serait faite remarquer comme ça. Enfin… L’humain est imprévisible, n’est-ce pas ? Alors comment savoir ? Je pensais que mon interlocutrice se transformerait en ennemi, mais finalement, elle s’offusqua en disant que ce n’était pas moi qu’elle accusait et même… en s’excusant ? C’était quoi ces histoires ? J’étais toute confuse. Je ne savais pas comment appréhender la situation. En tout cas, je pensais qu’il ne fallait pas que je m’attire des ennuis… Alors j’optai pour la solution la plus facile ; la docilité. « Oh, je vois, pardon pour le malentendu. Oui, j’ai prévu de me rendre à certains autres événements de cette semaine, notamment le bal… Et vous ? » C’était quoi le but ? Pourquoi faire la conversation ? Je ne le savais pas vraiment mais pour l’instant, ça me paraissait être la solution la plus douce et judicieuse. | | | | | |
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